100, c’est beaucoup d’arguments ! Ces arguments vont être rédigés progressivement et vous être proposés petit à petit, puis enrichis en continu puisque l’actualité ne nous déçoit jamais, et regorge d’éléments qui ne manqueront pas de rendre nos arguments encore plus incisifs. A ce jour, 18 arguments sont totalement développés.

Nous avons réparti ces arguments selon 7 catégories afin de mieux les appréhender :

Alarmisme exagéré

Les vaccins anti-Covid19 se justifient aujourd’hui parce qu’on a exagéré l’ampleur de la pandémie. On a amplifié les chiffres, surestimé les modélisations, dramatisé la situation, exacerbé les peurs. Ces vaccins sont ainsi proposés comme la seule réponse permettant de trouver une issue positive à la crise. En réalité, il n’en est rien.

Bénéfices limités

Les bénéfices des vaccins, quand on se penche sur l’ensemble des données et informations disponibles, sont limités

Risques et incertitudes

A l’inverse, les risques sont nombreux, avec à la clé un grand nombre d’incertitudes, liées à la nouveauté des technologies employées et à l’absence de tests sur le long terme. La balance risque / bénéfice s’avère ainsi très défavorable.

Alternatives

Les vaccins peuvent être un outil parmi d’autres pour répondre à la pandémie de la Covid19. Il existe un grand nombre d’alternatives, déjà déployées dans certains pays, prêtes à l’être dans d’autres, ou encore, nouvelles et prometteuses, en cours de développement. La plupart de ces alternatives, immédiatement disponibles, sûres et peu onéreuses, sont combattues dès lors qu’elles ne procurent par de revenus importants aux laboratoires pharmaceutiques.

Manque de confiance

Se faire vacciner est un choix nécessitant de poser un acte de confiance envers les personnes qui nous promeuvent le vaccin. Surtout à l’aune les scandales sanitaires, liés à d’autres vaccins ou médicaments comme le Mediator. Or, force est de constater qu’avec la gestion calamiteuse de la crise, il est difficile d’accorder cette confiance.

Ethique et libertés

Certains vaccins posent des problèmes éthiques, dans leur mode de fabrication. Par ailleurs, cette crise a donné lieu à des restrictions de liberté jamais vues jusqu’à présent. Malgré l’annonce faite plusieurs fois d’une vaccination non-obligatoire, se profile malgré tout le passeport vaccinal, visant à punir les récalcitrants et instaurant un apartheid sanitaire indigne d’un pays de liberté.

Divers

Les inclassables, comme toujours. Le dernier argument laisse même la part belle à votre imagination.

 

 

1 – Alarmisme exagéré


Argument 1 – La gravité de l’épidémie, constatée par la surmortalité, ne justifie pas l’injonction vaccinale, seule prétendument apte à nous faire retrouver une vie normale

L’épidémie de Coronavirus de 2020 a provoqué une surmortalité de près de à 5 à 7% par rapport à l’année précédente, et non de 9%, quand on intègre l’évolution structurelle de la société et notamment le vieillissement de la population. Si on compare avec une année de forte activité grippale comme 2017, l’augmentation ne représente que quelques pourcents. Au-delà de la virulence épidémique, la surmortalité de 2020 s’explique en partie par la politique sanitaire centralisée qui, par sa doxa idéologique en trop grande proximité avec les laboratoires pharmaceutiques, a entravé l’action des médecins de ville, contraint les soins, accéléré la mort des plus âgés et fragilisé les populations, dans un contexte antérieur de rationalisation de l’hôpital public. Quoi qu’il en soit, indépendamment des épisodes viraux à venir, la mortalité de la population est amenée mécaniquement à progresser dans les 50 prochaines années compte tenu du vieillissement de la population. Car, plus on vieillit et plus on a de chances de mourir, et quoi qu’on veuille, on finit toujours par mourir ! Ainsi, sans la nier, la gravité de l’épidémie de 2020, relativement modeste à l’échelle du temps, ne justifiait en aucun cas l’« arrêt de vie » que nous avons subi, et encore moins l’injonction vaccinale visant à nous faire retrouver notre liberté d’antan.

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Argument 2 – Les chiffres de décès liés à la Covid, et qui militent en faveur d’une vaccination, ont été surestimés

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Argument 3 – Les prévisions alarmistes ont été exagérées afin de justifier les mesures de contrôle social

Dès le début de la pandémie, les prévisions d’impacts du Coronavirus, mondialement alarmistes, ont permis la mise en place de mesures préventives et répressives de contrôle social. Ces prévisions ont été bâties sur la base de modèles mathématiques simplistes par un cercle restreint d’épidémiologiste ayant eu l’écoute des politiques et des médias du monde entier. Avec le recul de l’année qui précède, ces précisions se sont révélées totalement exagérées et toujours démenties dans des proportions considérables. On apprend même que le caractère alarmiste avait été une demande de certains gouvernements pour justifier les mesures de coercition sociale.

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Argument 4 – Les mesures prises ont des impacts mortifères sans commune mesure avec la gravité réelle de la pandémie

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Argument 5 – La propagande en vigueur est celle du marketing de la peur

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Argument 6 – La saturation du système hospitalier, laminé méthodiquement depuis des années dans un contexte de flux pourtant croissants, a conduit à des prises de décision politiques mortifères

En 2020, les services de réanimation ont été régulièrement et conjoncturellement en saturation faute d’un nombre suffisant de lits. Le gouvernement, sur avis du Conseil Scientifique, a instauré les mesures de distanciation sociale pour lisser la courbe des hospitalisations. Régulièrement, l’indicateur du taux d’occupation des lits de réanimation a permis le pilotage de la politique de restriction de libertés au travers des confinements et des couvre-feux. En réalité, cette situation était totalement structurelle et prévisible. D’un côté, les flux de passage aux urgences sont en constante augmentation de 3 à 4% par an, avec notamment le vieillissement de la population. De l’autre, le système hospitalier a été détruit sur la demande de l’Union Européenne, qui pousse année après année, la France à privatiser son système de santé et à diminuer ses dépenses publiques en matière de santé. Par ailleurs, le comptage des patients en réanimation est systématiquement surestimé compte tenu d’un système déficient de remontée d’informations, faussant l’évaluation de la situation sanitaire. Ces trois facteurs ont provoqué des prises de décision politiques calamiteuses aux effets catastrophiques : suppression des libertés fondamentales, maintien des malades sans soin à domicile, euthanasie des personnes âgées en Ehpad, précarisation économique des foyers et des entreprises et endettement du pays. Au final, le coût à payer pour la France est bien plus considérable que la somme des économies exigées depuis des années par l’Union Européenne. Comme l’a proclamé Emmanuel Macron dans son premier discours sur le Covid-19, le 12 mars 2020, « ce que révèle cette pandémie, c’est qu’il est des biens et des services qui doivent être placés en dehors des lois du marché ». Il semble bien que dans l’Union Européenne, ce sera impossible.

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Argument 7 – De nombreuses études ont montré la totale inutilité des masques en extérieur et leur nocivité auprès des enfants

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Argument 8 – Les confinements, utilisés comme un épouvantail justifiant la vaccination massive, ont aggravé la situation sans avoir aucun effet sur la pandémie

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Argument 9 – Les tests PCR, inadaptés à la situation et réalisés seront des protocoles différents, ont donné une vision déformée de la réalité de l’épidémie et conduit à des décisions calamiteuses

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2 – Bénéfices limités


Arguments 10 – Je ne suis pas dans la catégorie à risque et ne vois pas l’intérêt du vaccin compte tenu des risques et incertitudes

Les diverses études, en France ou en Angleterre notamment, montrent que le risque est proportionnel à l’âge et à certaines maladies, dont la quasi-totalité des affections chroniques. La balance bénéfice / risque de la vaccination, pour un jeune de moins de 65 ans, n’ayant aucune des pathologies identifiées, est très défavorable quand on intègre les risques, les questions morales et les nombreuses inconnues des vaccins aujourd’hui sur le marché.

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Argument 11 – L’immunité fournie par les vaccins, qui reste encore à prouver, a une durée inconnue à date et qui ne dépasse probablement pas quelques mois, nécessitant des vaccinations régulières

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Argument 12 – En l’état actuel des connaissances, les vaccins sont inopérants contre les nombreux variants du virus

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Argument 13 – Ayant déjà attrapé le virus, je suis en partie immunisé et n’ai donc pas besoin de me faire vacciner

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Argument 14 – Les données officielles actuelles ne nous permettent pas de savoir si les vaccins empêchent la contamination d’autrui

Il est souvent mis en avant que si l’on ne souhaite pas forcément se faire vacciner pour se protéger soi-même, il faut le faire au moins pour protéger les autres. Cet appel à l’altruisme et la responsabilité est bien entendu manipulatoire puisqu’il culpabilise les gens et fait pression sur eux : s’ils ne se vaccinent pas, c’est qu’ils sont égoïstes et irresponsables, mettant en danger la vie d’autrui. La réalité est tout autre : à l’heure actuelle, les résultats préliminaires qui ont permis la mise en marché conditionnelle des différents vaccins ne permettent pas de savoir si les vaccins protègent des infections asymptomatiques et on ne connaît pas leur impact sur la transmission virale.

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Argument 16 – L’efficacité du vaccin sur les formes sévères ou mortelles de la COVID-19 n’est pas prouvée à ce jour en l’absence d’études supplémentaires

Contrairement à certaines affirmations purement politiques, juste avant le lancement des campagnes massives de vaccination, les études au moment de la mise en marché des différents vaccins, ne permettent pas de savoir si les vaccins anti-Covid protègent des formes graves ou mortelles de la maladie.

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Argument 17 – En cours de rédaction

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Argument 18 – Etant du groupe sanguin O+, je suis déjà naturellement en partie protégé contre le virus

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3 – Risques et incertitudes


Argument 19 – Je ne souhaite pas me faire vacciner car les nombreux effets secondaires court terme sont très inquiétants

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Argument 20 – Tous les vaccins actuellement présents sur le marché grâce à une autorisation conditionnelle, sont en phase de test au moins jusqu’en 2022, faisant des personnes vaccinées des cobayes mal informés

Les 4 vaccins actuellement sur le marché ont bénéficié d’autorisations de mise en marché conditionnelles. Cette procédure particulière, permettant de faire face plus rapidement à des situations de crise, a pour conséquence première de permettre la mise en marché des vaccins, avant même que les phases de test ne soient terminées, faisant des personnes vaccinées les cobayes d’une expérimentation grandeur nature. Contrairement aux cobayes d’essais cliniques dûment estampillés, les personnes vaccinées ne savent pas qu’elles participent à un test, ne sont pas informées sur la nature précise des premiers bénéfices aperçus, avec leurs limites, ni sur les risques encourus ; ils ne reçoivent aucune indemnisation et ne signent aucun consentement éclairé. La réglementation exige que l’information sur le caractère conditionnel de ces autorisations soit communiquée explicitement aux professionnels de santé et aux patients, ce qui n’est jamais fait. Elle enjoint également une pharmacovigilance renforcée : nous constatons sur le terrain le contraire. Il faut enfin savoir que cette autorisation est possible s’il n’existe aucune alternative aux vaccins : dans le cas contraire, l’autorisation conditionnelle tomberait et les vaccins seraient retirés du marché. Cette condition méconnue du grand public explique de notre point de vue l’opposition constatée aux potentielles alternatives (hydroxychloroquine, ivermectine, etc.). Quoi qu’il en soit, la fin des tests est prévue le 27 octobre 2022 pour le AstraZeneca, le 2 janvier 2023 pour le Janssen, le 14 février 2023 pour le Moderna et le 06 avril 2023 pour le Pfizer. Entre temps, de nombreux rapports intermédiaires doivent être communiqués aux autorités pour garantir la fiabilité, l’efficacité et la stabilité des vaccins ainsi que l’absence de risques auprès des différentes populations.  Nous pensons enfin, qu’en vertu de la jurisprudence en vigueur actuellement concernant l’obligation vaccinale, il sera extrêmement difficile de rendre le vaccin obligatoire compte tenu du caractère conditionnel de la mise en marché et des nombreuses inconnues, risques ou aléas entourant ces vaccins.

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Argument 21 – Les vaccins contiennent des adjuvants et autres substances potentiellement nocifs

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Argument 22 – L’efficacité des vaccins est très différente entre celle annoncée suite aux tests et celle constatée lors des campagnes

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Argument 23 – Je suis sujet à de nombreuses allergies et ne souhaite pas prendre le risque d’une vaccination

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Argument 25 – Les vaccins laissent entrevoir des risques d’infertilité que les tests réalisés et le manque de recul sur les campagnes en cours ne permettent pas de circonstancier aujourd’hui

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Argument 26 – En tant que personne âgée, les vaccins sont, soit sans efficacité connue, soit dangereux

L’efficacité du vaccin Pfizer n’a pas été établie pour les plus de 75 ans. La Haute Autorité de Santé ne recommande pas le vaccin d’AstraZeneca aux plus de 65 ans. De nombreux accidents de personnes âgées, allant jusqu’au décès, interpellent sans qu’on puisse déterminer avec certitude un lien de cause à effet. En l’état, la vaccination des personnes âgées de plus de 65 ans tient plus d’un pari optimiste que d’un choix scientifique rationnel.

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Argument 27 – Les risques des vaccins sur le moyen et le-long terme, potentiellement graves, sont totalement inconnus à date

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Argument 28 – En cours de rédaction

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Argument 29 – En cours de rédaction

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Argument 30 – En cours de rédaction

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Argument 31 – En cours de rédaction

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Argument 32 – En cours de rédaction

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Argument 33 – Les personnels de santé ont des inquiétudes sur les vaccins et refusent parfois eux-même de se faire vacciner

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Argument 34 – En cours de rédaction

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Argument 35 – En cours de rédaction

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4 – Alternatives


Argument 36 – Il existe de nombreuses alternatives au vaccin, qui mériteraient d’être déployées afin de sauver des vies

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Argument 37 – Je ne souhaite pas me faire vacciner car il existe des alternatives au vaccin, parmi lesquelles l’hydroxychloroquine

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Argument 38 – Il existe des alternatives au vaccin, parmi lesquelles l’Ivermectine

L’analyse de la littérature scientifique et les preuves statistiques extrêmement robustes prouvent de manière quasiment irréfutable l’efficacité de l’Ivermectine contre la Covid-19, à tous les stades. Aussi bien en prophylaxie (division des contaminations d’un facteur 10, à l’instar de ce prétendent les vaccins) qu’en traitement précoce ou tardif (division du risque de mortalité d’un facteur entre 2 et 6). Malgré quelques contre-feux médiatiques qui cherchent criminellement à discréditer cette molécule, son efficacité s’impose chaque jour davantage dans le monde. En France, une action en cours auprès du Conseil d’Etat cherche à permettre aux médecins sa libre prescription.

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Argument 39 – En cours de rédaction

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Argument 40 – En cours de rédaction

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Argument 41 – En cours de rédaction

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Argument 42 – En cours de rédaction

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Argument 43 – En cours de rédaction

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Argument 44 – En cours de rédaction

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Argument 45 – En cours de rédaction

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Argument 46 – En cours de rédaction

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5 – Manque de confiance


Argument 47 – Je n’ai pas confiance dans nos politiques

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Argument 48 – Je n’ai pas confiance dans le conseil scientifique Covid-19, en partie responsable de décisions calamiteuses comme celle du confinement strict

Le conseil scientifique a été créé au tout début de la crise par le Président Macron, de manière redondante avec les organismes déjà existants et sans base légale indiscutable. Installé à l’Elysée, ce conseil était composé d’un cénacle de personnes auto-cooptées se connaissant bien, issues de l’AP-HP ou de l’Inserm pour la plupart, ou ayant pour certains, une forte proximité, y compris financière, avec les laboratoires pharmaceutiques, jetant un soupçon légitime de conflit d’intérêt. D’un côté, l’exécutif s’est appuyé sur lui, en se dédouanant, instrumentalisant ainsi la Science, pour prendre des décisions qui se sont révélées catastrophiques pour le pays, comme le confinement, les couvre-feux ou l’imposition des états d’urgence. De l’autre côté, le Conseil s’est toujours positionné comme un organisme purement consultatif, alors même que ses avis étaient rédigés comme des oukases à destination d’un peuple récalcitrant et immature. Ce Conseil Scientifique a été critiqué à de multiples reprises, que ce soit dans sa composition, dans son mode de gouvernance, opaque et illégal, ou dans ses avis qui sortent régulièrement de son champ d’expertise et de légitimité. Le jour venu, les membres du Conseil Scientifique devront à titre individuel rendre des comptes aux français.

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Argument 49 – Je n’ai pas confiance en le Monsieur Vaccin français

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Argument 50 – Je n’ai pas confiance dans les médecins trop proches des laboratoires pharmaceutiques

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Argument 51 – Je n’ai pas confiance dans les laboratoires pharmaceutiques, régulièrement sanctionnés pour des scandales sanitaire et des affaires de corruption

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Argument 52 – Je n’ai pas confiance dans les grands journaux scientifiques suite notamment au scandale du Lancet

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Argument 53 – Je n’ai pas confiance dans le laboratoire Pfizer

Le premier laboratoire pharmaceutique au monde, qui a été le premier à annoncer la sortie d’un vaccin contre la Covid-19, est connu pour ses pratiques frauduleuses, comme en témoignent les 74 affaires recensées depuis 2000 où le groupe a dû s’acquitter de 4,7 milliards de dollars de dédommagement. Ces pratiques, qui ont notamment entraîné la mort de 11 enfants africains et des dommages physiologiques sur des dizaines d’autres, dont des problèmes de surdité, de cécité et de paralysie, ont inspiré John Le Carré pour son roman : « La constance du jardinier ». Plus récemment, la vente des stock-options du PDG de Pfizer au moment même de l’annonce de la bonne efficacité du vaccin a scandalisé l’opinion publique.

Pour cette entreprise à la morale douteuse, sûre de sa puissance, la tentation d’un pactole à 15 milliards de dollars doit plus que jamais nous inciter à demeurer vigilants quant à la véracité de ses annonces et à la fiabilité de son vaccin.

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Argument 54 – Je n’ai pas confiance dans les nouveaux milliardaires qui ont tiré profit de la crise

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Argument 55 – Pourquoi devrais-je suivre les recommandations vaccinales des prescripteurs qui sont loin d’être exemplaires ?

L’exemplarité doit être la première qualité d’un responsable politique. Dans la crise que nous traversons, les citoyens peuvent se soumettre librement à des exhortations en partie absurdes et incohérentes seulement si, ceux qui les professent, les mettent en pratique pour eux-mêmes. Les Allemands se souviennent que, en 2009, lors du H1N1, les ministres ont bénéficié d’un vaccin spécial sans adjuvant pour limiter les risques d’effets secondaires. Plus récemment, le Président Macron fait un dîner à plus de 10, en plein couvre-feu, sans masques. Jean Castex ne télécharge pas l’application StopCovid. François Bayrou et Bruno Le Maire ne portent pas le masque. Des magistrats vont au restaurant alors qu’ils sont censés être fermés. Des journalistes de BFMTV, relais complaisants des directives gouvernementales, les agrémentant au passage d’une dose de culpabilisation, sont attrapés dans un restaurant clandestin. Neil Ferguson, l’épidémiologiste qui a poussé la France et le Royaume-Uni à des confinements strictes a reconnu avoir accueilli chez lui sa maîtresse, qui avait enfreint ainsi les lignes imposées…Tous les acteurs clés de la crise, exhortant leurs peuples à la prudence et les privant de liberté, s’affranchissent des règles qu’ils édictent et font passer insidieusement le message que la pandémie n’est en réalité pas si grave.

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Argument 56 – Je n’ai pas confiance dans l’Ordre des Médecins, étrillés en 2019 par la Cour des comptes pour sa gestion calamiteuse, et ayant fait preuve d’une inféodation sans précédent à la doxa des laboratoires pharmaceutiques lors de la crise sanitaire

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Argument 57 – Je n’ai pas confiance car ni les laboratoires ni les médecins ne seront responsables en cas d’effets indésirables graves

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Argument 58 – Je n’ai pas confiance dans le dispositif de pharmacovigilance qui a tendance à minimiser les retours court-terme et ne permet en aucun cas d’identifier les effets long-terme faute de populations témoins précises

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Argument 59 – Je n’ai pas confiance dans le cabinet Mc Kinsey qui accompagne le gouvernement sur sa stratégie vaccinale

Le cabinet Mc Kinsey a accompagné le gouvernement français dans la conception et la mise en place de sa stratégie vaccinale. Ce choix réalisé sans aucune transparence questionne particulièrement à l’heure où Mc Kinsey est impliqué dans le scandale des opioïdes ayant causé aux Etats-Unis la mort de plus de 400 000 personnes. Le laboratoire ainsi conseillé par « la Firme » a augmenté significativement ses ventes d’opioïdes, en contournant les mesures de santé publique visant à en réduire la consommation. Quelle confiance pouvons-nous avoir concernant la vaccination quand on en connaît les enjeux financiers ?

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Argument 60 – Je n’ai pas confiance dans les fonds d’investissements qui tiennent les laboratoires pharmaceutiques, les acteurs de la Tech ainsi que les médias

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Argument 61 – Je n’ai pas confiance dans les nouveaux milliardaires qui ont tiré profit de la crise

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6 – Ethique et libertés


Argument 62 – Je ne souhaite pas me voir imposer un vaccin mais choisir celui qui me correspond le mieux

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Argument 63 – Certains vaccins font intervenir des cellules de fœtus avortés dans leur processus de fabrication, soulevant de graves questions morales

Certains vaccins contre le virus SRAS-CoV-2, sont développés en recourant, dans le processus de recherche et de production, à des lignées cellulaires dérivées de tissus obtenus à partir de deux avortements survenus au siècle dernier. La question morale de la coopération au mal absolu de l’avortement se pose, pour l’ensemble des parties prenantes, du laboratoire jusqu’au patient final, en passant par les autorités sanitaires et les médecins.
L’Eglise catholique, opposée depuis toujours à l’avortement considéré comme un crime abominable, a apporté récemment une réponse à ce questionnement, en s’appuyant sur des réflexions antérieures. En substance, elle affirme qu’il est moralement inacceptable d’utiliser des vaccins anti-Covid-19 qui ont utilisé des lignées cellulaires de fœtus avortés dans leur processus de recherche et de production, sauf lorsque des vaccins contre la Covid-19 éthiquement irréprochables ne sont pas disponibles. Cette position demeure critiquée aujourd’hui par de nombreux catholiques considérant que la fin ne peut justifier les moyens et qu’un mal absolu ne peut souffrir de la moindre exception.
Quoi qu’il en soit, s’appuyant sur cette note officielle, tout catholique français, fidèle, médecin, prêtre ou évêque, doit refuser les vaccins d’AstraZeneca et de Johnson & Johnson, les plus moralement corrompus, et faire pression sur l’Etat pour exiger le choix et la présence de vaccins éthiquement irréprochables, ce qui n’est pas le cas aujourd’hui.

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Argument 64 – Le Président Emmanuel Macron nous a promis solennellement que la vaccination ne serait pas obligatoire

Fin 2020, le Président Macron s’est engagé solennellement à deux reprises à ce que la vaccination ne soit jamais obligatoire. Fin janvier 2021, l’Assemblée du Conseil de l’Europe a demandé instamment à l’Union européenne de « s’assurer que les citoyens et citoyennes sont informés que la vaccination n’est PAS obligatoire et que personne ne subit de pressions politiques, sociales ou autres pour se faire vacciner, s’il ou elle ne souhaite pas le faire personnellement ». Cependant, la vigilance est de mise. Un projet de loi, sorti en catimini fin décembre 2020, puis reporté suite au scandale qu’il a provoqué, laisse entrevoir la mise en place d’une obligation vaccinale indirecte au travers d’un passeport sanitaire ou via l’intermédiaire des entreprises vis à vis de leurs salariés. Quoi qu’il en soit, une telle promesse ne peut être trahie sans prendre le risque de susciter une révolte incontrôlable.

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Argument 65 – Ce vaccin légitime la mise en place d’un passeport vaccinal déjà prévu depuis longtemps

Le passeport vaccinal fait parler de lui seulement aujourd’hui à l’aune de l’épidémie Covid, dans la continuité des applications de suivi des malades telles StopCovid. Or ce projet est déjà bien ancien puisque l’Union Européenne l’avait positionné dans sa feuille de route vaccinale à l’horizon 2022. Et des grands acteurs de la technologie travaillent depuis longtemps sur le sujet, avec une forme de prescience qui ne manque pas d’interroger. On retrouve au cœur de ces projets des acteurs omniprésents depuis le début de la crise, tels que Microsoft et le Forum de Davos, avec leurs célèbres fondateurs, Bill Gates d’un côté et Klaus Schwab de l’autre, par ailleurs auteur du concept de Grande Réinitialisation.

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Argument 66 – L’Etat déroule son plan marketing, fait de mensonges, manipulation, chantage, instrumentalisation pour instaurer son passeport sanitaire – chronique quotidienne d’un des plus grands scandales de notre époque

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Argument 67 – Le passeport vaccinal est profondément rejeté par une large majorité de Français comme en témoigne la concertation réalisée en janvier 2021 par le CESE auprès de 110 000 personnes

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Argument 68 – Le passeport vaccinal n’a aucun fondement juridique et moral valables : il est contraire aux libertés fondamentales

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Argument 69 – La France est devenue un absurdistan autoritaire pour ne pas dire totalitaire

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Argument 70 – Etats et laboratoires ont manqué de transparence à tous les niveaux, minant la confiance des citoyens dans les vaccins

L’ONG canadienne Transparency international a analysé 86 essais cliniques enregistrés pour les 20 principaux vaccins et 183 contrats pour 12 vaccins différents du COVID-19. Son étude publiée le 25 mai 2021 alerte sur le manque de transparence concernant les essais cliniques, les contrats et les clauses d’indemnisation en cas de problème ainsi que sur le manque d’équité dans les prix. Cette analyse montre notamment que très peu de résultats des essais cliniques ont été publiés. Les rares publications ont été réalisées loin des standards scientifiques classiques, par le jeu d’annonces médiatiques, souvent incomplètes, avec une visée publicitaire et comportant des risques importants de désinformation. A peine 12% des protocoles des essais cliniques ont été publiés ne permettant pas de comprendre les conditions dans lesquels ils ont été réalisés. Etonnamment, les médecins de plateaux télévisés, extrêmement critiques vis à vis des nombreuses études concernant les alternatives telles que l’hydroxychloroquine ou l’ivermectine, ne se sont guère émus de ce manque de transparence. De même, moins de 6% des contrats établis entre les gouvernements et les développeurs de vaccins ont été publiés et lorsqu’ils l’ont été, de nombreux caviardages ne permettent pas de savoir la teneur des engagements pris, notamment en ce qui concerne les clauses d’indemnisation en cas d’accidents ou d’effets indésirables. En conséquence, le manque de transparence de nombreux essais cliniques, combiné aux très fortes incitations financières à produire des traitements efficaces, laisse la porte grande ouverte à une communication sélective des résultats ou à la manipulation pure et simple des données. Le manque de données accessibles au public ouvre la voie à des demi-vérités trompeuses et potentiellement dangereuses, à la désinformation et aux théories du complot, qui contribuent à leur tour à l’hésitation à se faire vacciner. Le manque de transparence des contrats entre les gouvernements et les développeurs de vaccins est tout aussi inquiétant. Le fait de cacher les contrats au public ou de publier des documents dont le texte est expurgé signifie que nous ne savons pas à quoi les gouvernements se sont engagés. Compte tenu des sommes d’argent public vertigineuses investies dans la recherche et le développement dans le monde, les citoyens ont le droit de tout savoir sur les vaccins que leurs impôts ont contribué à financer.

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Argument 71 – En cours de rédaction

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Argument 72 – En cours de rédaction

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Argument 73 – En cours de rédaction

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Argument 74 – En cours de rédaction

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Argument 75 – En cours de rédaction

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Argument 76 – En cours de rédaction

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Argument 77 – En cours de rédaction

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Argument 78 – En cours de rédaction

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Argument 79 – En cours de rédaction

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Argument 80 – En cours de rédaction

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Argument 81 – En cours de rédaction

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Argument 82 – En cours de rédaction

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Argument 83 – En cours de rédaction

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Argument 84 – En cours de rédaction

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Argument 85 – En cours de rédaction

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7 – Divers


Argument 86 – En cours de rédaction

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Argument 87 – En cours de rédaction

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Argument 88 – En cours de rédaction

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Argument 89 – En cours de rédaction

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Argument 90 – Comme Agnès Buzyn, je considère que moins on prend de médicaments, mieux on se porte

Agnès Buzyn, ancienne Ministre de la Santé, a déclaré le 30 juin 2020, devant la commission d’enquête parlementaire sur la gestion de la crise Covid : « mon sentiment, c’est que nous consommons souvent trop de médicaments et que moins on en consomme, mieux on se porte ». M’inscrivant pleinement dans cette philosophie médicale, je souhaite ainsi consommer aucun des vaccins qui me sont proposés.

Argument détaillé


Argument 91 – En cours de rédaction

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Argument 92 – En cours de rédaction

Argument détaillé prochainement…


Argument 93 – En cours de rédaction

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Argument 94 – Je me pose des questions sur les vaccins car je suis prudent par nature et cette vertu est inscrite dans notre Constitution

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Argument 95 – En cours de rédaction

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Argument 96 – Selon Emmanuel Macron, ceux qui vous promettent un vaccin avant avril 2021 vous trompent

Le 1er octobre 2020, le président Emmanuel Macron a déclaré lors d’une rencontre organisée par la BPI, que les personnes qui affirment la possible mise sur le marché d’un vaccin contre la Covid, avant le printemps 2021, « vous trompent ».

Argument détaillé


Argument 97 – En cours de rédaction

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Argument 98 – En cours de rédaction

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Argument 99 – Je crains les vaccins car j’ai une amie proche dont la vie a été gâchée par une vaccination précédente

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Argument 100 – Je laisse le soin aux lecteurs de choisir leur propre argument qui ne figurerait pas dans la liste précédente

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