L’analyse de la littérature scientifique et les preuves statistiques extrêmement robustes prouvent de manière quasiment irréfutable l’efficacité de l’Ivermectine contre la Covid-19, à tous les stades. Aussi bien en prophylaxie (division des contaminations d’un facteur 10, à l’instar de ce prétendent les vaccins) qu’en traitement précoce ou tardif (division du risque de mortalité d’un facteur entre 2 et 6). Malgré quelques contre-feux médiatiques qui cherchent criminellement à discréditer cette molécule, son efficacité s’impose chaque jour davantage dans le monde. En France, une action en cours auprès du Conseil d’Etat cherche à permettre aux médecins sa libre prescription.


Argument détaillé

 

1 – L’Ivermectine, une molécule notamment utilisée contre la gale

L’Ivermectime est un antiparasitaire à large spectre, utilisé dans plus de 90 pays depuis 1987 dans le traitement de différentes maladies comme l’onchocercose appelé également cécité des rivières. Ce fléau majeur en Afrique touche 40 millions d’êtres humains et peut rendre aveugle. Il est également actif contre certains vers tropicaux et contre le sarcopte de la gale.

L’OMS note que l’ivermectine est un médicament « sans danger et peut être utilisé à grande échelle ».

Ses découvreurs, Satoshi Omura (Japon) et William Campbell (Etats-Unis), ont été ultérieurement récompensés par un prix Nobel de physiologie et de médecine en 2015.

L’ivermectine possède diverses activités antivirales, en particulier contre certains virus à ARN comme notamment le Sars-CoV-2.

 

2 – Des études in vitro aux études in vivo, chez l’animal puis chez l’homme

Une étude australienne publiée le 3 avril 2020 dans la revue scientifique Antiviral Research, réalisée in vitro, a montré de manière spectaculaire son caractère inhibiteur vis à vis du Covid-19. En effet, les cellules infectées traitées à l’Ivermectine ont vu leur charge en ARN viral se réduire de 5 000 fois en quarante-huit heures.

Depuis, de nombreuses autres études in vivo ont par la suite démontré des résultats exceptionnels, sur les animaux ou sur l’homme.

Par exemple, en France, une étude de Bernigaud et al. a été publiée en décembre 2020 dans les Annales de Dermatologie et de Vénéréologie. Les résultats sont stupéfiants. L’étude relate ainsi que 121 personnes d’un Ehpad (69 résidents, moyenne d’âge 90 ans, et 52 employés) de Seine et Marne s’étaient retrouvés protégés du Covid, grâce au traitement en mars 2020 d’une épidémie de gale, avec l’aide de l’Ivermectin, médicament dont l’action était connue pour traiter cette maladie.

 

3 – Des résultats constatés dans le monde entier

D’autres exemples ont précédé cette « découverte » française : ainsi, en Argentine, une étude a été faite sur 1200 soignants au contact de malades Covid, traités en préventif dans 4 hôpitaux différents. 800 ont reçu de l’Ivermectine, 400 n’ont rien reçu. Dans le groupe sans, après 2 mois et demi, 237 ont été contaminés, soit 58%. Dans le groupe traité avec l’Ivermectine, zéro cas.

Par ailleurs, le collectif américain FLCCC  (Front Line Covid-19 critical Care Alliance) a rédigé une revue exhaustive concernant les résultats de l’Ivermectine, sur des expérimentations à grande échelle.

Dans cette revue de la littérature (approuvée, évaluée par les pairs et en instance de publication), rédigée par le Dr Pierre Kory et l’équipe de la FLCCC, ils présentent les données disponibles concernant l’efficacité de l’ivermectine in vitro, dans les modèles animaliers, en prévention, en traitement précoce et en traitement hospitalier. Ils évoquent aussi des données épidémiologiques concordantes qui montrent l’impact des campagnes de distribution d’ivermectine dans plusieurs régions d’Amérique latine.

Au Brésil : entre mai et juillet 20202, les autorités ont distribué des doses massives d’Ivermectine dans les villes d’Itajai, de Macapa et de Natal. On a ainsi pu mesuré de fortes diminutions du nombre de cas Covid ou de morts, peu de temps après avoir commencé ces traitements, par rapport aux villes voisines n’en ayant pas bénéficié.

Au Pérou : le gouvernement a approuvé l’utilisation de l’Ivermectine le 8 mai 2020. Peu de temps après, il a lancé des campagnes de distribution dans le but de réduire les taux de mortalité COVID-19 parmi les plus élevés au monde. Les résultats constatés sont significatifs sur la diminution de la mortalité des personnes de plus de 60 ans (voir notamment la figure 4). Un film produit par TrialSite News productions raconte en détail cette expérimentation à grande échelle.

Au Paraguay : une petite région autonome, Alto Parana, a décidé en septembre dernier de distribuer massivement de l’ivermectine. Au total, la région a distribué 30 000 boîtes d’ivermectine en quelques semaines. Au 15 octobre, l’épidémie avait globalement disparu ! (voir figure 7 de l’étude).

Les médecins et chercheurs membres de ce groupe, qui totalisent collectivement plus de mille publications médicales, avaient également été les premiers à attirer l’attention sur l’intérêt des corticostéroïdes, bien avant que leur usage ne se répande (là aussi, ils n’avaient pas été écoutés).

 

4 – Des effets significatifs dans 100% des études réalisées

Le site ivmmeta.com, qui recense en temps réel l’ensemble des études réalisées, révèle à fin janvier 2021 :

  • Un total de 35 études, réunissant 221 auteurs et 10,336 patients, parmis lesquelles 17 études en RCT (Essais contrôlés randomisés), avec 108 auteurs et 2528 patients.
  • 100% des 35 études à ce jour rapportent des effets positifs.
  • Le traitement précoce est plus efficace, avec une réduction estimée de 84% de l’effet mesuré à l’aide d’une méta-analyse à effets aléatoires, RR 0,16 [0,08-0,33]. L’utilisation prophylactique montre également une grande efficacité. Selon les stades :
    • Tôt (traitement au moment des premiers symptômes ou juste après) :  84% d’amélioration RR 0.16 [0.08-0.33]
    • Tardif (traitement après que la maladie ait progressé) : 39% d’amélioration RR 0.61 [0.47-0.79]
    • Prophylactique (prise régulière des médicaments à l’avance pour prévenir ou minimiser les infections) : 90% d’amélioration RR 0.10 [0.04-0.23]
  • 100% des 17 essais contrôlés randomisés (ECR) rapportent des effets positifs, avec une réduction estimée de 71%, RR 0,29 [0,17-0,51].
  • La probabilité qu’un traitement inefficace produise des résultats aussi positifs que ces études est estimée à 1 sur 34 milliards.

Nota : le Risque Relatif (RR) d’un événement est le rapport entre la probabilité de l’évènement chez les exposés et chez les non exposés.

Par ailleurs, le docteur Andrew Hill de l’University of Liverpool a réalisé une méta-analyse. à la demande de l’OMS. Il a ainsi examiné 18 essais cliniques randomisés sur 2282 patients. La mortalité s’est réduite de 75% dans six essais randomisés sur des infections modérées ou sévères,

 

5 – Les contre-feux de la majorité des médias mainstream

A l’exception notable de Paris-Match, certains médias mainstream (AFP Factuel, 20  Minutes…) cherchent à discréditer l’efficacité de l’Ivermectine. Cette désinformation irresponsable causera sans doute en France plusieurs milliers de morts évitables. Ces articles utilisent des ressorts bien rodés, tels que :

  • En premier lieu, une orientation éditoriale délibérée avec un parti pris initial de discréditer la molécule. Se pose la question d’articles de commande.
  • Dans le même temps, l’apposition du label « Fact Checking », pour montrer qu’il s’agit de « Vérité Vraie », apportée par des gens très sérieux.
  • Ensuite, la mobilisation d’un ou deux experts exclusivement à charge. Ces derniers vont extraire et mettre en avant les quelques éléments les moins favorables (Cherry Picking), tout en occultant les nombreux éléments positifs, sans soucis d’équilibre. Par ailleurs, quelques arguties méthodologiques avec des termes choisis sont là pour embrouiller le lecteur. Ils donnent en parallèle l’impression d’une très grande expertise hors de portée du commun des lecteurs. Enfin, les auteurs évitent soigneusement d’interroger l’un des 221 auteurs ayant travaillé sur l’une de ces études.
  • Pour finir, des conclusions sans appel pour semer le doute : « ce n’est pas scientifiquement démontré ». Ou encore : « il est urgent d’attendre et de ne rien faire »

Nous dénonçons ici l’imposture intellectuelle de tels articles. D’un côté, un journaliste et quelques experts sélectionnés contre la cause, font le choix de clore le débat scientifique, au travers de quelques arguments de salon, sur le temps limité d’une interview.

De l’autre, plus de 200 scientifiques ont réalisé des études de terrain auprès de plus de 10 000 patients, selon des protocoles stricts et des méthodologies bien détaillées. Une grande partie de ce travail a déjà fait l’objet du regard critique de leurs pairs.

Chacun jugera.

 

6 – Face aux Etats timorés, la mobilisation des malades et des médecins

Alors, compte tenu de tous ces résultats avec cette molécule prometteuse et sans dangers, nous devrions pouvoir agir rapidement. Qu’en est-il ?

Certains Etats font petit à petit le choix d’utiliser l’Ivermectine comme la Bulgarie ou la Macédoine du Nord, située au centre de la péninsule balkanique.

Au Mexique, dans la ville de Mexico, depuis le 29 décembre 2020, l’ivermectine a été donné comme traitement aux patients positifs. Jusqu’au 22 janvier 2021, ils ont délivré plus de 50 000 traitements. Les résultats sont impressionnants. 

Le 29 janvier 2021, le Dr Oliva López confirme que l’ivermectine continuera à être utilisée dans le cadre du protocole de soins Covid19. Elle note que l’ivermectine a « des preuves croissantes d’un effet de réduction de la charge virale. »

La Malaisie annonce le 22 janvier 2021 la mise en place de tests cliniques avec l’ivermectine. L’article du NewStraitsTimes signale par ailleurs que plus de 3,7 milliards de doses ont été distribuées dans le monde au cours des 30 dernières années, sans effets secondaires indésirables signalés !

Au Japon, lors d’une conférence de presse du 9 février 2021, Haruo Ozaki, le président de la Tokyo Medical Association recommande l’Ivermectine pour prévenir les aggravations. 

En Israël, le 12 février 2021, une nouvelle étude randomisée (RCT) faite sur 94 patients par le professeur Eli Schwartz du Sheba Medical Center, montre une baisse de la charge virale.

Ailleurs, aux Etats-Unis, le NIH (National Institutes of Health) progresse dans l’appréciation du potentiel de cette molécule en passant d’une opposition à une circonspection encourageante.

Le groupe scientifique ne peut pas tirer de conclusions définitives sur l’efficacité clinique ou l’innocuité de l’ivermectine pour le traitement du COVID-19. Des résultats d’essais cliniques suffisamment puissants, bien conçus et bien menés sont nécessaires pour fournir des orientations plus spécifiques et fondées sur des preuves sur le rôle de l’ivermectine dans le traitement du COVID-19.

Enfin, en France, malheureusement, face au mutisme des autorités, l’association des malades du Covid a saisi le Conseil d’Etat. Ils sollicitent une Recommandation Temporaire d’Utilisation (RTU) en faveur de l’Ivermectine . Réponse attendue le 25 janvier 2021 !

 


Liens complémentaires

  1. Ivermectine Covid : les informations publiées sur ce site reprennent en version française les informations notamment diffusées sur le site de la FLCCC (Front Line Covid-19 critical Care Alliance).
  2. L’Ivermectine victime d’attaques malhonnêtes : l’ivermectine se médiatisant chaque jour davantage en apportant de plus en plus d’éléments probants, fait l’objet d’un grand nombre d’attaques d’une grande malhonnêteté intellectuelle. Le docteur Dr Gérard Maudrux (18 ans président de la Caisse autonome de retraite des médecins de France – CARMF) en démonte un certain nombre. Notamment la description à charge de la revue Prescrire, la note du HUG (Hôpital Universitaire de Genève) et le communiqué de presse de Merck, dénigrant sa molécule.
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